Reussir sa vie quand d'autres l'ont meurtrie
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Reussir sa vie quand d'autres l'ont meurtrie

°๑ La violence est la force des faibles °๑
 
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 je voudrais tellement lutter et partir

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faible
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MessageSujet: je voudrais tellement lutter et partir   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1Dim 17 Oct - 16:01

bonjour
pour commencer je veux dire que si je parle mal, si je m'énerve, si mes mots quelquefois sont moches, par pitié ne m'attaquez pas là dessus. il m'arrive souvent de m'énerver, je suis souvent sujette à utiliser des mots surs, quand je parle d'un salaud je dis salaud. je fais ce que je peux pour me dominer à ce sujet, mais j'en bave. j'ai un lourd passé. ce n'est pas une excuse mais ça joue.
toute mon enfance j'ai été battue et insultée par ma mère qui me harcèle encore par courrier et téléphone d'une manière que je ne peux pas décrire parce que personne, personne sur Terre, ne me croit jamais, ne m'a jamais crue. c'est trop gros il paraît, j'affabule forcément.
pour la fuir je suis partie avec le premier venu dès ma majorité. le premier venu était un monstre jaloux et violent. pas de bol.
pour le fuir j'ai tenté de filer chez mon père, qui m'a renvoyée à un foyer de filles mères parce que j'étais enceinte (pourtant mariée mais ça a bien été la pire erreur de ma vie, ça).
au bout de 5 ans de procédures impossibles j'ai fini par retrouver un emploi et me stabiliser un peu avec mon fils. je me croyais, malgré mon surrendettement et mes galères, à peu près repartie.
c'est à ce moment là que j'ai rencontré mon actuel conjoint.
ex enfant battue, ex femme battue, jamais reconnue victime, née pauvre, vivant pauvre, habituée des restos du coeur, avec un enfant à charge, mais j'étais vivante c'était ma victoire.
c'est important de vous dire le contexte parce que je reste convaincue que si je n'avais pas vécu tout ça avant je ne serais pas tombée dans le panneau.
je n'avais guère d'amis, ayant fui ma région d'enfance à cause de maman, ma région de mariage à cause de chéri number one...pierre qui roule...alors je trainais sur internet dans ce qui était à l'époque à la mode, les tchats, les forums. ça me faisait penser que j'étais vivante, que j'avais un entourage, on tient le coup comme on peut ma foi.
c'est là, sur internet, au fil de discussions anodines sur la société, les chats, les gosses...que je l'ai rencontré.
tout est ma faute.
son humour m'a séduite. lui au départ m'a envoyée bouler. j'aurais du en rester là, au lieu de ça je ne sais pas ce qui m'a pris je l'ai dragué. dragué, oui. et ça a fini par marcher, on a eu des conversations privées, et de fil en aiguille...
il me repoussait, je le draguais de plus belle. il était charmant, drôle...j'avais envie de croire que j'y avais droit moi aussi, merde alors, pourquoi je n'aurais pas le droit à un mec bien, hein? j'avais assez morflé, après tout.
ma révolte contre mon destin est ma plus mauvaise conseillère. je n'y avais pas droit. cas social tu es née, cas social tu mourras ma fille...
j'ai demandé de moi même la première rencontre. quand je dis que c'est ma faute, hein...
en plus d'être drôle intelligent et charmant il était pas mal beau. il avait une excellente situation en prime, ce qui ne gâchait rien. le prince charmant. le vrai. jeune beau riche intelligent drôle doux, la totale.
j'étais consciente de ça. je m'appelais cendrillon moi même dans nos correspondances.
non contente de me jeter dans la gueule du loup je me qualifiais moi même de victime, je me positionnais dès le départ comme inférieure, ce que j'étais d'ailleurs objectivement. moi, cas social, divorcée (même pas, je n'arrivais pas à faire venir l'autre devant le juge! un joli cas cui là aussi) avec un môme, vivant des aides sociales et de petits boulots, à 25 ans, c'est pas la réussite. Lui il avait mon âge mais son background c'était parents payant l'isf, hautes études, super boulot avec papa, propriétaire d'un grand appart avec terrasse en centre ville au dernier étage, jeunesse sage, tout nickel. cendrillon. j'étais cendrillon et j'avais même pas eu besoin d'une marraine fée. youpi.
très vite, c'est allé très vite...
je n'étais pas contre, tu parles, une occasion de bonheur pareille, ça se laisse pas filer! le cas social malheureux pouvait devenir d'un coup super intégrée dans la société et heureuse en même temps. didiou tu parles d'une aubaine, d'un cadeau de la vie. j'étais sur un nuage.
il travaillait avec son père dans l'entreprise familiale à 800 km de chez moi. pour faire vivre cette relation je n'avais guère le choix. et puis j'étais celle qui avait le moins à perdre à bouger, c'est le cas de le dire, là.
alors au bout de seulement 4 mois après notre rencontre j'ai demandé à mon chef (j'étais vrp) si éventuellement on pouvait me faire une place sur le secteur où il était. nan parce que attention j'étais consciente que ce mec était l'homme de ma vie, mais je ne voulais pas lui mettre la pression, hein. j'étais seule à décider de ce que je voulais. il ne fallait pas qu'il se sente responsable de moi, je savais que je prenais un risque pour moi mais j'avais peu à perdre, après tout. et je ne voulais pas le mettre en porte à faux, lui. donc je voulais bouger avec mon job, mon gamin, et dans mon propre logement. ne pas être dépendante, ne pas peser sur sa vie, laisser à la relation une vraie chance d'aboutir, et si ça ne marchait pas bin vu mon passif ça me ferait une histoire à raconter à mes petits enfants, voilà tout. je ne lui demandais rien, je prenais le risque de vivre une simple carte postale mais je voulais me donner une chance d'être enfin heureuse.
mon chef m'a trouvé un coin de secteur à prospecter, j'ai finit par dégoter un hlm en cambrousse (là j'aurais du être un peu déçue quand même, mon homme était dans l'immobilier avec toute sa famille et il ne m'avait pas proposé de m'aider à trouver un logement. mais après tout c'est moi et moi seule qui lui avais dit que je ne voulais pas être un poids pour lui ni lui créer le moindre problème, hein. donc bon)...c'est comme ça que 4 mois et demi après notre rencontre je me suis retrouvée à 800 bornes de chez moi, et encore à 80 km de chez lui (je n'avais pas les moyens du centre ville, moi), planant le coeur léger, persuadée que j'allais à la rencontre de mon bonheur, de mon vrai destin, celui qui serait très différent de ce que j'avais connu jusque là, convaincue que la vie avait finit par voir ma nature bonne généreuse et tout ça et qu'elle avait décidé de compenser un peu toutes les vacheries qu'elle m'avait faites avant.
(si à ce moment précis vous trouvez que j'ai été la dernière des crétines attendez la suite c'est encore mieux)
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MessageSujet: Re: je voudrais tellement lutter et partir   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1Dim 17 Oct - 23:18

hello

bienvenue sur le forum , dit donc , tu te dévalorise tellement , et pourtant je sent tellement de force en toi , tellement de rage a vouloir sortir de tout cela , je n'ai pas encore lu la suite ... saches , que , on est ce que l'ont veux , il n'y a pas de cas social parce qu'on viens d'une famille qui a vécu dans la précarité . Ho non ! pas du tout , je vais lire la suite , mais déjà , tu écris très bien , et je suis sure que tu es loin de cendrillon ... Wink


Dernière édition par mifee_misorciere le Mer 20 Oct - 12:54, édité 1 fois
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faible
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MessageSujet: suite   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1Mer 20 Oct - 12:48

donc me voilà arrivée dans ce que je croyais être le pays des bisounours, là où les gens sont beaux riches et gentils, là où on ne bat pas ses enfants, on ne les force pas à partir très jeune, à vivre dans la précarité, loin des cas sociaux de ma race, ce joli pays des rêves où il me dit qu'il fait bon vivre. Joli pays où ses parents sont paraît-il des gens aimants et doux, ses amis des gens ouverts et gentils, où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
mon seul souci en arrivant est donc de m'intégrer à ce petit pays joli parce que j'ai une seule peur c'est que ma nature de cas social se voie et qu'on me rejette parce qu'on ne comprend pas pourquoi j'ai déjà un ex mari, pourquoi j'ai des soucis familiaux, pourquoi je n'ai pas un job à 3000 euros, tout ça. je veux qu'ils m'aiment, qu'ils m'adoptent, je veux m'intégrer, je veux être enfin heureuse comme on voit à la télé puisque ça existe, IL me l'a dit (et je l'ai cru, je ne demandais que ça, crétine extrême je vous dis).
il m'a invitée une fois à rencontrer sa mère mais je n'ai pas pu y aller. c'était un week end, elle fêtait son anniversaire, il y avait toute sa famille, il trouvait ça sympa, moi d'une j'avais eu la trouille (100 personnes d'un coup ça fait beaucoup) et de deux je n'avais pas eu les sous pour payer l'essence ce week end là. il avait proposé de payer pour moi mais je ne voulais pas être une charge, j'avais refusé. y'avait pas le feu après tout. (je n'ai compris que bien plus tard que j'avais affreusement vexé ma belle mère, une invitation ne se refuse pas, quelle que soit la raison).
il m'avait fait venir un autre week end pour que je voie ses amis. tous en même temps. il avait fait une fête pour son anniversaire, hop, je me suis pris 20 personnes d'un coup. dur. 20 prénoms à retenir, rien que ça. ça paraît bête mais c'est dur de se rappeler laquelle est laquelle, lequel est lequel, de ne pas faire d'erreur dans la soirée, de ne vexer personne en se gourant de prénom par exemple... je n'ai pas compris tout de suite qui c'était...il y avait un groupe de filles attroupées dans un coin et une qui pleurait au milieu, c'est comme ça que j'ai su qui elle était. son ex. elle n'était pas plus prévenue que moi, moi ne sachant pas qu'elle était parmi les convives je ne cachais pas mes élans de tendresse pour lui et elle elle avait craqué. bonne ambiance...enfin, il m'a dit qu'elle avait des soucis persos, et qu'elle vivait mal la rupture mais que ça n'avait rien à voir avec moi. je l'ai cru. (j'ai su bien plus tard que ce soir là j'ai été vue comme une provocatrice sans aucune tenue et que toutes les femmes présentes, qui en ont parlé à leurs mecs après bien sûr, m'avaient directement détestée à cause du mal infligé à l'ex, bien involontairement je le jure, j'ignorais tout de sa présence, il me l'a présentée avec son prénom comme si de rien je ne savais pas qui c'était et au pire il m'avait dit que c'était fini depuis longtemps et d'un commun accord donc même si j'avais su que c'était elle je ne pouvais pas la savoir aussi à vif.)
j'ai bien senti un froid mais j'ai mis ça sur le compte du fait qu'ils étaient tous à peine sortis des études et que moi je faisais peur, au même âge, avec un môme et un divprce, forcément.

j'avais bien envie de rencontrer son monde encore, en arrivant dans le coin, donc.
je suis contente, j'ai hâte. des gentils, des vrais. enfin! je suis impatiente de me faire aimer (et on l'a vu c'est mal barré d'office).
il dit qu'il a un peu peur peur parce que j'ai un enfant, qu'il ne se sent pas prêt pour être père, tout ça, alors je dis tout pour le rassurer, mon fils a un père, une mère aussi, c'est pas sa responsabilité, je suis grande, je m'assume, je l'aime, je veux juste pouvoir l'aimer et être aimée tranquillement, on y va doucement mais j'aimerais bien que les gens autour sachent que j'existe tout de même, quoi, je n'ai pas l'impression de demander grand chose, je peux faire garder mon fils, et puis pour le coup si ses amis et ma famille m'adoptaient ça me ferait des gens en contact dans la région parce que je ne connais personne, moi, ici, que lui...et il ne sait jamais rien...il ne savait pas où je pouvais chercher un appart, il ne sait pas non plus où je peux trouver un médecin sympa pour le petit, un coiffeur, un véto pour mon chien. il a grandi ici mais il ne connait rien. en fait non c'est pas ça mais c'est ce qu'il essaie de me faire croire. il voudrait bien m'aider à trouver mes marques mais soi disant qu'il a tellement été couvé et protégé qu'il ne connait rien de la vie, même pas comment je peux me rendre à la caf par exemple. c'est pas grave, j'ai mappy, je m'autogère, je ne serai pas un poids, c'est ma ligne de conduite.
(là une ampoule aurait du s'allumer dans ma tête pour me montrer que statistiquement il est impossible de ne jamais avoir eu le moindre animal ni le moindre enfant ni le moindre pauvre ni rien dans son entourage, que forcément il avait connu des gens avec ces critères, que forcément il pouvait savoir, quand même. tout le monde dans sa famille n'était pas jeune riche beau bien portant sans enfant et sans chien, sans jamais aucun besoin ni de toubib ni de coiffeur ni de magasin spécifique ni rien, si? l'ampoule ne s'est pas allumée)

pour ce qui est de rencontrer ses amis il fallait à chaque fois une fête. en dehors de ça, point de salut. pas moyen de partager un loisir, on faisait tout tous les deux, personne ne faisait rien avec nous, que la fête. moi je veux bien mais avec un petit de 4 ans je ne peux pas rester tard. mais je veux bien. on fait des fêtes. rien de plus. pas un coup de fil, pas un coup de main, pas une sortie de filles proposée pour du shopping, rien du tout. bon. en même temps ça colle à mon prévisionnel, je suis un cas social, pourquoi m'accepteraient-ils? (toujours aveugle incapable de voir qu'en fait il m'a mise dans une situation où je ne pouvais qu'être rejetée d'office, je ne pense même pas à entrer en contact direct avec ces gens, je n'ai pas leurs coordonnées de toute manière, ce sont ses amis, pas les miens)

pour sa famille...
il a organisé un repas au restaurant un soir. et bé. c'est formel. moi le restaurant bien sûr je n'y avais pas mis un pied, à part un hippopotamus dans la jeunesse peut être, et deux trois entretiens d'embauche dans des restaurants d'hôtels. je me suis dit que c'était flatteur, direct m'emmener quelque chose de bon, belle maman et beau papa étaient sympas. sauf qu'ils ne m'ont pas adressé la parole. du tout. de tout le repas. assis en face de moi, ils se parlaient entre eux en se cachant derrière leurs menus. gênée, j'ai pris le plat le moins cher, et ma foi j'ai attendu...rien. pas un mot. juste à Lui, mais moi que dalle, mon fils non plus. c'est assez gênant comme situation, qu'on se sente cendrillon ou pas.

je lui ai parlé, quand même. je lui ai dit que ses amis avaient eu un air un peu hautain et que bon je pouvais comprendre mais est-ce qu'il pourrait leur parler, expliquer mon cas, un peu, qu'ils se radoucissent? pas de problème il a dit.
pour ses parents j'avais été un peu plus choquée alors je lui ai dit clairement mon malaise. c'était la première fois qu'on me traitait comme ça. des insultes des coups ok j'ai l'habitude mais faire comme si j'étais un meuble ça c'était assez nouveau et douloureux.
qu'est ce que j'avais pas dit là.
lui qui était normalement doux et gentil et compréhensif devant mes difficultés, ce n'était plus le même. il m'a hurlé dessus. je ne comprenais rien, ses parents étaient timides, je débarquais de nulle part, je perturbais leur vie, je me prenais pour qui...
ouh la...
pas toucher à sainte maman, c'était clair.
bon. n'empêche ça me restait dans la gorge, quoi. je peux comprendre plein de choses mais ce silence envers moi quand même pour moi c'était du mépris, pas de la timidité.

ça a continué. chaque rencontre, chaque évènement familial, silence de mort, aucun intérêt pour moi. même pas à me demander comment j'allais, rien!
un jour il y a eu un mariage et sa mère m'a parlé.
lui et moi en avions assez de faire 80km pour nous voir, ça faisait plusieurs mois que j'étais là, c'était l'été donc le moment idéal pour le petit de changer encore de lieu de vie (autant éviter de changer d'école en cours d'année), on avait décidé de vivre ensemble. suite logique, quoi. il avait un grand F4, c'était pas si problématique que ça, j'avais peu de choses à déménager...
il a choisi ce jour là pour annoncer la chose à sa mère et d'une manière assez...je vous laisse trouver l'adjectif: en plein milieu de la famille au mariage il a dit "tu sais maman on va s'installer ensemble mais t'inquiète pas elle va cotiser hein".
j'ai cru mourir. cendrillon ok mais là ça commençait à prendre des proportions gênantes.
(si quelqu'un se pose la question: non je n'avais pas trouvé bizarre de devoir payer pour le crédit de son appartement à lui qui ne m'appartiendrait jamais même pas un petit peu. mon raisonnement était que de toute manière si j'avais vécu seule j'aurais payé un loyer, hein, donc bon, autant être honnête, cet argent il était de toute manière dépensé. ça ne m'a pas plus gênée de faire moitié moitié pour tout le reste alors qu'il gagnait 3000 euros hors primes et moi le smic. pour moi l'équité c'était 50%. je suis débile, je sais)

pour le coup de l'annonce à sa mère j'ai réagi. j'ai parlé. il a hurlé. j'interprétais mal. de toute manière il n'y avait pas de bon moment pour le dire à sa mère et de toute manière elle aurait posé la question financière autant lui répondre, elle avait peur que quelqu'un en veuille à l'argent de son fils. ça n'avait rien de personnel contre moi. je pleurais, il criait, je suis passée outre.

ça a continué comme ça avec sa famille. ils ont commencé à me parler, mais mal. genre "c'est quoi ces mèches?", ou "ça c'est ta vie privée" si je parlais d'autre chose que de la météo ou du dernier chien de paris hilton. bonne ambiance. je ne pouvais même pas parler de mon fils, c'était chaque fois des réponses du type "oui bin tu fais comme tu veux". le genre de réponses qui te disent clairement on s'en fout de toi, ta vie, qui tu es. moi qui étais supposée trouver des bisounours aimants pour m'accueillir à bras ouverts, j'étais un peu déstabilisée, là.

(et c'était la première année, ça, attendez la suite!)
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MessageSujet: Re: je voudrais tellement lutter et partir   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1Mer 20 Oct - 12:50

étrangement , on a toutes le même idéal ; aimer et être aimer de tout le monde , hors il est impossible de plaire a tout le monde ... mais ca ...on s'en rends compte que plus tard ... quand tout est fini ;
et bien sure on aimerait que les parents , la famille de "notre prince charmant" nous aiment comme ils l aiment et le vénère lui ...
etre aimer de ses amis et bien oui apres tout , il n'y a pas de raisons ... il est avec nous c'est bien pour une raison qu'ils doivent comprendre et accepter ...
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MessageSujet: Re: je voudrais tellement lutter et partir   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1Mer 20 Oct - 12:53

la fin de l'histoire de " faible "est ici :

http://reussirsaviememesi.heavenforum.org/le-coins-des-anonymes-f20/et-fin-t540.htm

je n ai pas réussit à déplacer cette partie Smile
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MessageSujet: Re: je voudrais tellement lutter et partir   je voudrais tellement lutter et partir Icon_minitime1

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